Un terroir de prédilection
pour la vigne


Le Clos Guérin se situe au cœur du Triangle d’Or formé par les cités d’Avignon, Nîmes et Arles, sur un promontoire remarquable de près de cent vingt hectares. Jouissant d’un emplacement privilégié, il domine la confluence du Rhône et du Gardon, face aux Baux-de-Provence (seulement 20 km à vol d’oiseau), en aval du Pont du Gard côté Gardon et du Pont d’Avignon côté Rhône.

Pont d'Avignon
Arènes d'Arles
Pont du Gard
Pont d'Avignon
Arènes d'Arles
Pont du Gard

Balayé par le Mistral

Le plateau, qui s’élève à soixante mètres d’altitude, est régulièrement balayé par le Mistral. Venant du Nord, ce vent puissant et sec, souffle tout au long de l’année. Il sèche l’humidité présente sur le végétal et réduit d’autant le développement des micro-organismes qui l’affectent. De type méditerranéen, le climat est doux l’hiver, et chaud à très chaud l’été. L’automne et le printemps sont marqués par de fortes pluies qui humidifient les sols et reconstituent les réserves hydriques.

Terroir balayé par le Mistral

Balayé par le Mistral

Le plateau, qui s’élève à soixante mètres d’altitude, est régulièrement balayé par le Mistral. Venant du Nord, ce vent puissant et sec, souffle tout au long de l’année. Il sèche l’humidité présente sur le végétal et réduit d’autant le développement des micro-organismes qui l’affectent. De type méditerranéen, le climat est doux l’hiver, et chaud à très chaud l’été. L’automne et le printemps sont marqués par de fortes pluies qui humidifient les sols et reconstituent les réserves hydriques.

Vestige du Quaternaire

Cette colline, que les Romains baptisèrent Mons Ferinus eu égard à la profusion de son gibier, constitue l’un des vestiges des évènements géologiques extraordinaires qui se sont produits à l’aube du Quaternaire, il y a près d’un million d’années. Parallèlement à l’émergence des Alpes et à l’élévation du niveau des terres, on assiste à la naissance d’un puissant fleuve : le Rhône. En creusant son lit, il arrache aux massifs alpins nouvellement formés d’énorme blocs qu’il brise en d’innombrables cailloutis, puis charrie des centaines de kilomètres durant.

Jonché d'énormes galets

Ces antiques diluviums alpins, devenus galets après des millénaires d’une lente érosion, constituent aujourd’hui la couche supérieure des hautes terrasses villafranchiennes auxquelles appartient le plateau de Montfrin. Localement, ces agrégats de quartzite mêlés à une matrice d’argiles rouges sont présents jusqu’à huit mètres de profondeur. Ils confèrent au sol le double avantage d’une perméabilité hydrique sanitaire, réduisant l’exposition aux maladies cryptogamiques, et d’une excellente stabilité thermique, apportant fraîcheur et arômes fruités.

Au-dessous se trouvent des marnes argilo-sableuses bleues à jaunâtres. Elles sont issues de dépôts alluvionnaire du Pliocène, temps géologique où la mer méditerranée recouvrait la région. Cette strate inférieure favorise le maintien d’une réserve hydrique essentielle, assurant au végétal une ressource en eau même lors de fortes sécheresses.

Sol jonché d'énormes galets

Jonché d'énormes galets

Ces antiques diluviums alpins, devenus galets après des millénaires d’une lente érosion, constituent aujourd’hui la couche supérieure des hautes terrasses villafranchiennes auxquelles appartient le plateau de Montfrin. Localement, ces agrégats de quartzite mêlés à une matrice d’argiles rouges sont présents jusqu’à huit mètres de profondeur. Ils confèrent au sol le double avantage d’une perméabilité hydrique sanitaire, réduisant l’exposition aux maladies cryptogamiques, et d’une excellente stabilité thermique, apportant fraîcheur et arômes fruités.

Au-dessous se trouvent des marnes argilo-sableuses bleues à jaunâtres. Elles sont issues de dépôts alluvionnaire du Pliocène, temps géologique où la mer méditerranée recouvrait la région. Cette strate inférieure favorise le maintien d’une réserve hydrique essentielle, assurant au végétal une ressource en eau même lors de fortes sécheresses.